Voici un roman intrigant, le dernier de W.G.Sebald avant sa mort en 2001, que je ne sais pas très bien comment présenter.
Grâce à une succession de coïncidences, le narrateur fait la connaissance d'un homme étrange, Jacques Austerlitz, qui lui raconte peu à peu sa vie. Enfant prétendument de pasteurs anglais, il a découvert tardivement sa véritable identité et son nom. Cette quête le mène à Prague et au camp de concentration de Theresienstadt, ce qui ne va pas sans une grande angoisse.
Il ne m'était visiblement pas d'un grand secours d'avoir découvert les sources de ma perturbation ni d'être capable de me voir moi-même avec la plus grande acuité, tout au long de ces années révolues, en petit garçon coupé du jour au lendemain de sa vie familière: la raison ne prenait pas l'ascendant sur le sentiment que j'avais de tous temps réprimé et qui maintenant se frayait avec violence un chemin pour sortir au grand jour, le sentiment d'avoir été rejeté et effacé de la vie.
Ce qui surprend ici c'est le style du récit, avec des développements sur l'architecture, des gares en particulier, ou sur l'aviation, des digressions sur les oiseaux, les paysages... qui prennet place naturellement cependant dans cette recherche de l'identité. De plus Austerlitz est illustré de photos, de croquis, qui laissent croire qu'il ne s'agit pas d'un roman mais d'un véritable témoignage.
En recherchant l'image de la couverture sur Intenret, voici un commentaire que j'ai trouvé sur un site universitaire et qui me conforte dans mon impression:
Si les textes de Sebald sont extrêmement difficiles à résumer et à mémoriser, Austerlitz est sans doute le plus difficile à cet égard : constitué, comme il est, d'un système de renvois, d'allusions et de correspondances dont on devine la logique poétique avant de bien la comprendre si tant est qu'on la comprenne jamais.
Commentaires
Hello
Austerlitz comme la gare ? coincidence qu'ils aient le même nom ? ou genre on a donné son nom à la gare en genre d'hommage ?
Bonne soirée bisous
bonjour ma petite Christine,
je pense que tu as passé un bon week-end ma jolie.
Le notre fut sympa.
Belle journée ma jolie.
Je t'embrasse très fort.
Cricri
Hello,
Je passe te souhaiter un bon we.
Bisous
Bonsoir
Passe un beau week end!
Bisous
Bonsoir Christine, comme cela doit-être difficile de connaitre tardivement sa véritable identité! J'aime la couverture de ce livre avec ce petit garçon dans un vêtement bien singulier. Bises et bonne soirée. fanfan
une lecture qui parait faire travailler les méninges aprés mon voyage virtuel dans les livres du pére yvon je ne suis pas sortie indemme bon vendredi bien ton partage
kikou ma petite Christine,
Les coïncidences devaient se produire tout simplement.
Bonne fin de journée Christine.
Je t'embrasse
Cricri
Bonsoir Christine, bon je n'ai pas lu ton billet, je suis un peu fatiguée ce soir mais je reviens demain pour le lire.
Ah je voulais te remercier car apparemment certaine personne déteste l'art topiaire et le buis, bon chacun ses gouts, mais je vois, ce soir que je ne suis pas la seule à aimer le buis.
Je t'embrasse et à demain. fanfan