Pauline Dubuisson était une jeune fille pleine d'avenir qui se destinait à la médecine. Mais la Seconde Guerre Mondiale change tout. Employée dans un hôpital allemand en tant qu'infirmière, elle devient la maîtresse du médecin chef, avec le consentement tacite de son père, voire sous sa pression, en échange de nourriture. Elle sera tondue et violée collectivement par les libérateurs.
Prête à se reconstruire, elle est rejetée par son fiancé lorsqu'il découvre son passé, et le tue. Plus tard, sortie de prison, elle est bouleversée et humiliée par le spectacle que le film La Vérité, de Georges Clouzot donne d'elle.
Les mêmes insultes que celles que j'avais connues à la fin de la guerre. Toutes les autres filles se sont engouffrées dans cette brèche, toutes la condamnaient, aucune ne la plaignait, elle avait ce qu'elle méritait.
Elle s'exile au Maroc décidée à se faire oublier, mais son passé la rattrapera...
Je crois qu'on ne peut mourir que d'être désaimée. Et ça ce n'est pas mourir d'amour, c'est même l'inverse.
A partir de cette histoire vraie, Jean-Luc Seigle imagine le témoignage de l'héroïne dans ce roman émouvant à la première personne: Je vous écris dans le noir.
Commentaires
Bonjour
encore un livre qui me semble bien intéressant!
Bisous
bonjour
pti coucou en passant par là !
comment vont les chats y a longtemps que tu n'en a pas parler ?
bonne journee
pouty
OH la la ,rien que la présentation que tu fais de ce roman me chavire...
Les femmes sont toujours victimes dans tous les conflits d'ici-bas...Pas "jojos" ces pseudos "libérateurs" qui s'arrogeaient des droits écoeurants ...
Merci Christine pour ta visite et ton commentaire sur mon dernier Post'.
Notre w-e fut bien rempli et très agréable.
Ds les Gorges du Gardon hier, où il faisait une chaleur quasi insupportable...
Nettement mieux aujourd'hui où ns sommes montés au frais sur le Ventoux...
Cela faisait un bail qu'on n'avait pas profité d'une météo aussi clémente, sans mistral !
Je te souhaite une excellente semaine.
Un gros bisou. Seringa.
Bonjour Christine eh oui il y à eu beaucoup d'histoire comme ça à l'époque ce roman doit être très bon .
Je te souhaite une bonne fête des mères en ce dimanche bises.
Poignant et triste
j'ai pris note du titre car j'aimerais le lire
Bonne soirée bisous
Coucou Christine, c'est rigolo, on s'écrivait en même temps, bises, fanfan
Bonsoir Christine, un bien émouvant roman, triste destin pour cette femme.
J'ai regardé ton billet précédent, de jolies photographies, une bien belle exposition, merci Christine.
Je t'embrasse, bon week-end, fanfan