Auteur : christineb
Date de création : 27-07-2011
L'insouciance, de Karine Tuil
Voici une romancière qui écrit depuis une quinzaine d'années et que je découvre seulement. Dans L'insouciance, Karine Tuil raconte l'histoire de quatre personnages:
François Vély, le grand patron à qui tout semble réussir;
Marion Decker, sa jeune femme, journaliste au passé difficile;
Romain Roller, soldat de retour d'Alfghanistan, encore traumatisé par cette expérience;
Osman Diboula, éducateur de banlieue en pleine ascension sociale, devenu conseiller présidentiel.
Ces personnages, et ceux qui les entourent, famille, amis, sont pris dans une tourmente amoureuse et politique qui les dépasse: au coeur de ces bouleversements les questions de la race, de la couleur de la peau, de l'intégration sociale... dans la France du XXIème siècle. Qu'est-ce qu'être juif, noir, blanc? Porte-ton définitivement le poids du passé de sa famille? Dans quelle mesure la victime joue le jeu de son bourreau pour se faire accepter?
(...) pourquoi rappeler les origines juives de ce patron? En quoi le fait qu'il soit juif est important dans cette affaire? Il y a quelque chose de très malsain qui est en train de se produire dans notre société, tout est vu à travers le prisme identitaire. On est assigné à ses origines quoi qu'on fasse. Essaye de sortir de ce schéma-là et on dira de toi que tu renies ce que tu es; assume-le et on te reprochera ta grégarité.
Voici quelques questions abordées dans ce roman, chapitre après chapitre, au hasard des dialogues et de la vie des personnages: elles ponctuent une histoire de passion amoureuse qui triomphera malgré tout et heureusement.
Commentaires
Bonjour Christine je ne connais pas cet ouvrage, je note, à cette saison je lis beaucoup, les sorties et occupations à l'extérieur sont peu nombreuses.
Bon dimanche, bisous
Bonjour Christine
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Bonne journée
Avec amitiés
René de Chine
Bonjour Christine
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Bonne journée
Avec amitiés
René de Chine
Ce roman a l'air intéressant.
Un roman qui fait réfléchir sur ce qu'est réellement la vie.
Bonne fin de soirée
Bonjour Christine merci pour la bonne semaine , ce roman m'à l'air fort intéressent je retiens ça qui est à méditer très fort en ce moment
il y a quelque chose de très malsain qui est en train de se produire dans notre société ... passe une très bonne semaine malgré le froid bises.
Christine,
Ce que j'aime ?
Les voyages, les balades, la musique, me rendre utile ( bénévole à la X Rouge )
de temps en temps,
la marche ( nordic walking en groupe ), c'est plus marrant à plusieurs que solo,
je fais du remplacement ( tourisme ) en cas de désistement de dernière minute,
etc... et bien sûr le farniente avant tout, c'est ce qui me réussit le mieux,
j'ai laché du lest car je m'éparpillais dans trop de domaines et j'ai fini par craquer !
Trop de stress et de contraintes m'ont anéantie, depuis je vis au ralenti...
Chi piano va sano e va lontano !
Les poèmes ne sont pas tous de moi, certains sont trouvés sur le net
arrangés à selon mon ressenti...
Pour votre livre !
Il ne faut jamais renier ses origines d'où que l'on vienne, car elles vous collent
à la peau toute votre vie, c'est juste une question de savoir s'accepter soi-même,
le regard des autres est souvent discriminatoire pourtant la France est multiraciale
par ses colonies, certains fanatiques et extrémistes espèrent pouvoir nous diviser pour nous
constituer en catégories ou en communautés qui auraient des intérêts différents !
Eh bien non ! Nous sommes une unique nation et nos lois sont les mêmes
pour tous.
@ bientôt
Bonjour Christine, et bien j'aimerais lire ce roman ! car finalement il positive, il triomphe par l'amour ! Pas comme en ce moment, où les gens démissionnent, semble croire que tout est perdu d'avance, alors tous ceux qui se sont battus auparavant pour des causes comme l'injustice et le racisme, cela n'aura servi à rien ? Moi je suis comme ce roman, je veux y croire...
Bises, bonne fin de dimanche, bonne semaine, fanfan
Ce roman a l'air tentant.
Pas mal de questions que je me pose souvent.
Peu m' importe la religion ou la couleur de la personne que j'ai en face de moi: seule l'humanité qu'elle dégage et le respect de l'autre m'importent.
Nous sommes allés marchouiller 2 H au bord du Rhône ce matin, bien emmitouflés, il faisait 3° quand on a commencé. Vraiment besoin de s'oxygéner en profitant de la chute du mistral...
Gros bisous Christine. Bonne semaine . Seringa.