Quel est le point commun entre Yûsef, porteur d'eau en Afghanistan, et Tom, réfugié Afghan à Paris, les deux personnages du roman d'Atiq Rahimi? Le premier, pauvre, gagne sa vie en allant chercher l'eau dans une grotte au péril de sa vie et doit protéger l'épouse de son frère disparu.
Le second, qui semblait parfaitement intégré, remet sa vie en question:
A quarante-cinq ans, tu es toujours en errance. Un exilé errant, un technico-commercial, un commis voyageur, un amant fugitif, un mari en cavale, un père absent.
Mais le 11 mars 2001, le jour dont il est question dans Les porteurs d'eau et où va se jouer le destin des deux héros, les talibans ont détruit les grands Bouddhas d'Afghanistan.
Tu ne comprenais pas pourquoi tant de bruit alors que les Talibans massacraient en toute tranquillité la population chiite de cette région, que tant de femmes étaient victimes de leurs barbaries, que la misère était atroce dans le pays. Mais personne n'en parlait. Et là bien sûr, on n'entendait que l'indignation du monde entier face à la destruction des Bouddhas. Bouddha lui-même en aurait eu honte.
Pourtant une oeuvre d'art est ce qui reste lorsque les hommes ont disparu; alors oui la destruction des oeuvres d'art est grave. Ce roman, parfois difficile, est poétique et émouvant.
Commentaires
Coucou Christine,c'est vrai que face à la barbarie l'art n'est rien et pourtant c'est elle qui sera un témoignage aussi,quand tu vois que lorsque daech s'apprètait à envahir,des personnes avaient déjà évacuer les objets de musées,pour qu il y ait la trace du passé,de l histoire du peuple qu il allait envahir,c'est de nos jours,tristement et malheureusement,surement un bon livre,bon fin d'apm,bisou.
coucou Christine ce livre doit etre dur émotionnellement à lire et en meme temps cela nous fait admettre qu'il y a des horreurs dans ce monde perpétrées sur des humains par des humains,cela me glace le sang ,le monde est ainsi fait on condamne ses atrocités mais on continue à faire souffrir des hommes,des peuples et hélas ça sera toujours ainsi, très douce fin de journée, gros bisous..
bon dimanche
tu sais la guerre de 38 j'ai vécu
si les gens de cette génération savais ils son trop pourrir
amitié
Bonjour ma petite Christine oui surement un livre qui doit donner a réflechir sur la condition humaine de certaines personnes , de la misére , merci de nous guider afin de pouvoir comprendre le but de l'auteur..Merci pour ton gentil com bise a++++Lili.
Bonjour Christine
désolé mauvaise réponse
Avec amitiés
René de Chine
Un livre qui mérite la lecture. Il faut qu'il y ait des hommes comme celui-là pour témoigner de la misère qu'on est capables d'infliger à des hommes. Je note le titre. Bises et à plus. Florentin
Bonsoir Christine, C est certain, que lorsque des ětres vivants sont victimes de violence, c est inadmissible et il n y a aucune excuse mais on peut comprendre aussi que c est grave de dėtruire des oeuvres d art, c est le patrimoine d un pays...
Bises, Christine et bon dimanche, fanfan