en chemin

Pour notre premier jour dans Los Angeles, il est 14h, on a mangé un hot dog vraiment dégueulasse dans Little Tokyo et maintenant... visite culturelle!

The Broad est un très joli musée inauguré en 2015. Il abrite une collection de 2000 oeuvres, de 1950 à nos jours.  Avec des salles vastes qui ne sont pas surchargées, qui sont très bien éclairées, c'est un plaisir de déambuler.

 

Mon premier coup de coeur est pour l'oeuvre monumentale de Julie Mehretu: Cairo 2013. Elle représente la ville du Caire, en arrière plan, balayée par une tempête de sable venu du Sahara. Impossible de tout montrer sur une seule photo, donc voici un petit morceau de la toile.

 

Salle suivante, deux oeuvres d'un artiste connu: Roy Lichtenstein.

Blang, 1962, se situe dans le contexte de la guerre froide.

 

 

 

On reconnait les oeuvres de Jeff Koons: Les Tulipes, Balloon dog. Celle-ci est moins connue:  un train de transport....d'alcool. On est aux Etats-Unis.

 

Autre artiste connu: Andy Warhol et ces photos de Jackie Kennedy, au moment des funérailles de John Kennedy.

 

Autre oeuvre monumentale et ma préférée, à cause des couleurs: Deep Blue de Mark Bradford. Elle se base sur une carte réalisée lors des révoltes de 1965 à Los Angeles et qui pointait les endroits violents de la ville. Là aussi j'ai dû faire plusieurs photos sans saisir tout le tableau...

 

 

 

 

Arrivés tardivement à l'aéroport de los Angeles le 14 avril, et quelque peu désorientés, nous n'avons rien vu de la ville à part un bus vétuste et le métro. Impossible d'obternir un ticket de transport si ce n'est en espèces, c'est quoi ce pays moderne? ...

Pour commencer notre journée américaine,  un bon petit déjeuner chez Carl's, 3500 Wilshire bvd, qui va devenir notre point de rdv du matin avec un accueil très sympathique: burger breakfast, double big burger, burger à l'avocat, avec fries...Je recommande!

 Il y en a pour tous les goûts et tous les appétits pour 49,56 dollars pour trois.

 

En bons Européens que nous sommes, nous décidons de commencer par le centre ville de Los Angeles: Downtowm. Mais là, plus de repères, surtout que la carte n'est même pas orientée nord-sud! J'avoue, j'ai mis un certain temps à m'en rendre compte.

Le centre ville n'existe pas vraiment même si le City Hall est visible de loin avec son allure de pyramide Arts déco.

 

Finalement on promène entre les gratte-ciel, j'adore les reflets sur les façades.

 

 

La Broadway avenue (ou boulevard?), qui a connu son heure de gloire avec les débuts du cinéma parlant, témoigne désormais de la pauvreté d'une partie de la ville.

 

Un funiculaire (en rouge sur la photo) datant de 1901 nous mène par hasard au Grand Central Market où se retrouvent spécialités hispaniques et asiatiques.

Mais il est encore trop tôt et les allées sont désertes.

Un café au lait? 6,5 dollars...

 Et je ne dirais rien des hot dog infâmes du quartier de Little Tokyo...

C'est le grand jour. Deux de mes petits-enfants de 15 ans et moi partons pour Los Angeles!

Première aventure: le voyage en avion et le survol du Groenland. On nous annonce 11h40 de vol sans escale et 9110 km de distance.

 

 

On n'a vu ni ours polaire ni Esquimaux ni Trump (heureusement!) mais...

 

 

Dans ce roman, Coyote attend, nous sommes au Nouveau-Mexique. Delbert Nez est tué alors qu'il était à la poursuite d'un mystérieux individu peignant en blanc les roches basaltiques d'un site remarquable. Son collègue, Jim Chee, de la brigade tribale navajo, arrête un vieil Indien ivre. Mais est-ce bien le coupable? Chee mène l'enquête pour son propre compte. C'est aussi le cas de Leaphorn.  Tous deux vont de surprise en surprise; Tony Hillerman se joue de nos hypothèses, le mystère s'épaissit dans un contexte de croyances indiennes, de récits légendaires et de mort de Butch Cassidy.

Coyote, c'est le destin, un destin qui est venu perturber un peuple qui cherchait la paix et l'harmonie.

Il regarda à nouveau Janet. Elle semblait stupéfaite, se demandant probablement ce qu'il pouvait bien espérer apprendre de tout ça... un étonnement que Chee commençait à partager. mais au moins elle ne l'accuserait pas d'essayer d'apprendre quelque chose qui puisse être utilisé contre Pinto. Sauf si le vieil homme parlait sufisamment longtemps pour lui dire ce que Chee était venu apprendre, bien sûr.

Il parla de Coyote comme de la métaphore du chaos chez un peuple affamé condamné à périr si aucun ordre ne régnait. Il parla de Coyote comme l'enemi de toute loi, de toute règle et de l'harmonie.  Il parla du pouvoir mythique de Coyote. Il rappela à Chee comment Coyote s'asseyait toujours sur le seuil du hogan quand le Peuple Sacré se réunissait en Conseil

 

 

Que voit-on depuis le phare de l'Espiguette? La brume hier matin ne permettait pas de voir bien loin.

Vers le sud: 

Le cordon dunaire de l'Espiguette est le résultat de l'action conjuguée des alluvions du Rhône, des courants marins, des vagues et des vents locaux. Ici, la côte avance (accrétion). Le phare, initialement situé à 155m de la mer, se trouve maintenant à 700m du rivage. On peut voir comment la végétation recouvre petit à petit les dunes.

 

Vers l'ouest:

Les constructions en forme de pyramides caractéristiques de La Grande Motte; au fond à gauche le Pic Saint Loup et au centre, la falaise plus claire de l'Hortus.