en chemin

Paris au printemps, à première vue, ce n'est pas très différent de Paris en hiver.

 Pourtant, en y regardant de plus près, voilà que les bourgeons frémissent.

Et pendant que l'on regarde ailleurs, la Seine par exemple ou bateau-mouche et péniche font la course...

... voilà que les feuilles des marroniers ont déployé leur vert tendre!

C'est une invitation au repos

et dans les jardins des Tuileries les tenues se font légères...

Déjà les magnolias perdent leurs pétales

Quant à cette patte de grand singe en chocolat, dans une vitrine place de la Madeleine, attention au soleil!

Toujours rien à l'horizon et pas de réponse du webmaster... Extraordinaire!

Mais je lis vos articles. Bonne semaine!

       Je n'aime pas les nouvelles, je l'ai déjà dit. Pourtant les petits chapitres qui composent cet ouvrage, Paris est une fête, ressemblent plus à des chapitres d'une autobiographie ou d'un roman autobiographique. Paris dans les années 20. C'est plein d'humour, de charme, parfois de férocité, de vie.

Toute une atmosphère à re/découvrir pour ceux qui aiment Paris ou le romancier Ernest Hemingway.

aux tuileries...

La météo de ce  printemps est bien perturbée et la floraison des espèces de la garrigue se prolonge. Ainsi, dans le bois de Lens, on trouve des bancs d'iris nain sur le chemin du Puech Balaru

La petite jonquille ou les renoncules ont bien du mérite pour pousser entre les pierres du

chemin qui mène aux grottes de Bragassargues

Et déjà,  les odeurs du thym ou du romarin dans ce fouillis de végétation éclairé par les fleurs blanches du laurier-tin, à hauteur de l'aven de Matelas

Enfin, le muscari que l'on dit négligé, allez savoir pourquoi, sur le bas côté de la route de Robiac...

Impossible de lire vos commentaires et d'en mettre sur vos blogs... Que se passe-t-il?Mystère, mystère...

En attendant que le problème soit résolu, je vous souhaite à tous

 un bon week-end!