en chemin

Quelques précisions pour la randonnée de Saint Martial, déjà décrite sur ce blog dans l'article édité le 25/09/2011.

1) Du col de la Tribale, on monte jusqu'au menhir du col de Bes: puis on descend en face  (balisage jaune)  vers le Bes où l'on rattrape une petite route.

2) Après le pique nique, on peut suivre l'itinéraire déjà décrit et quitter la route à gauche à hauteur d'un ruisseau. Si l'on veut arriver plus vite à Saint Martial, il suffit de continuer la  route et l'on croise peu après sur la droite le chemin qui descend sur Saint Martial (balisage jaune marquant l'entrée du chemin).

3) Dans l'itinéraire déjà décrit en septembre, en redescendant de Mont Sumuech, on croise une route, puis une piste: attention, il ne faut pas prendre le sentier qui descend en face mais prendre la piste à gauche, le chemin se trouve quelques mètres plus loin.

       Limonov, qui se situe,je pense, entre biographie et roman, montre l'évolution de l'ex-Urss avec un point de vue plutôt rare, et en cela il est très intéressant. Le héros est Edouard Limonov, personnage réel tout autant que romanesque, écrivain, aventurier, homme à tout faire, mercenaire, fondateur du parti national-bolchevick, provocateur... Le narrateur raconte la vie de cet homme volontaire, qui  l'indigne parfois mais surtout le fascine, au point de regretter  à la  fin du livre qu'il soit devenu  un "loser":

 Il faut reconnaître une chose à ce fasciste: il n'aime et n'a jamais aimé que les minoritaires: les maigres contre les gros, les pauvres contre les riches, les salauds assumés, ils sont rares, contre les vertueux qui sont légion (...) 

       Pourtant je ne peux pas dire que ce livre m'ait totalement enthousiasmé: est-ce dû à la personnalité de Limonov, personnalité que j'accepterais chez un personnage de fiction tandis qu'ici il s'agit d'un individu réel? ou plutôt des interventions du narrateur, qui se confond avec l'auteur, Emmanuel Carrère, et qui joue, je trouve, le Candide avec une certaine complaisance, voire, à la suite de son héros, le donneur de leçon:

Tout ce que je voyais, c'est que lui était à la fois un aventurier et un écrivain publié, alorsque je ne serai jamais ni l'un ni l'autre, la seule t dérisoire aventure de ma vie s'étant soldée par un manuscrit qui n'intéressait personne.

       Ceci dit, qu'un livre, qui est bien écrit, dérange et fasse réfléchir... c'est plutôt bien!

L'avenue des Champs-Elysées à hauteur du jardin du même nom, le 10 novembre

De la Place de la Concorde, vers l'est, les Tuileries et au fond le Louvre

Vers l'ouest, la Tour Eiffel

Et justement la Tour Eiffel a pris les couleurs de l'automne:

Enfin le soir tombe sur l'ancienne Ecole Polytechnique.

Il pleut et il pleuvra demain, et peut-être même les jours suivants. Alors on est jamais trop prudente... C'est ce que dit Miquette, confortablement installée sur la voiture dans le garage! Bon week-end!

Le temps, exceptionnellement printanier pour ce mois de novembre où la pluie est fréquente, nous a permis de faire une jolie randonnée de 10km dans la garrigue. Parties de Caveirac, nous avons marché plein sud jusqu'à hauteur de la ferme des Genêts.

Une bifurcation vers la droite pour rejoindre le carrefour du bois de Bergis et nous sommes revenus sur Langlade, traversant le joli village ancien qui aurait mérité une visite plus longue.

Puis retour par la voie verte où le passage à vive allure des cyclistes nous a causé quelques frayeurs et nous a fait regretter la tranquilité des bois...

Merci à Gisèle, Joe et Joelle!